L'Office de Tourisme est le 1er partenaire du gîte La Vieille Dame. Polyglottes, les agents de l'Office de Tourisme sauront vous conseiller dans l'organisation de votre séjour en famille ou entre amis. Ils vous feront découvrir les lieux incontournables à visiter en Basse-Normandie : le Mont-Saint-Michel, la Fonderie des Cloches, le musée Christian Dior, les îles Chausey, les balades en vélo, les randonnées pédestres, etc.
Adresse
8 places des Costils
50800 Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
Tel : 02 33 61 05 69
Horaires d'ouvertures
Février à Mai (du lundi au samedi) : 10h00-12h30 et 14h-17h30
Juin à Septembre (tous les jours) : 9h30-13h00 et 14h-18h00
Octobre à Janvier (lundi au samedi) : 10h-12h30 et 14h-17h30
Fermé le lundi matin et le jeudi après-midi
Pôle d’excellence des métiers d’art : Villedieu-les-Poêles. Cette citadelle est la capitale française de l’artisanat. Fondeurs de cloches, souffleurs de verre, potiers d’étain, artisans du cuivre, dentelières et bien d’autres vivent encore ici.
L'histoire de la ville de Villedieu-les-Poêles.
Au 12ème siècle, le fils de Guillaume le Conquérant, Henry 1er Beauclerc, Duc de Normandie, offre aux frères hospitaliers de Jérusalem, qui deviendront plus tard les chevaliers de l’ordre de Maltes. De retour de croisades, une terre placée sur la boucle de la Siennes dénommée Siennaitre. Ils y installèrent des forges et placèrent le lieu sous le vocable de dieu. Ainsi naquit Villedieu, les Saultchevreuil car cette ville dépendait de la paroisse de Saultchevreuil. Devant la première commanderie de France, la ville obtient d’importants avantages. Le Roi exonère la cité d’impôt et le Pape laisse les chevaliers maîtres de leurs terres. A cette époque déjà quelques poêliers vivent dans la ville. Le plus souvent ce ne sont que des ouvriers itinérants et employés à la tâche. Au fil du temps, certains venus d’Anjou et de Bretagne se sédentarisent. Le travail y est très dur. Il faut trier le cuivre, le meilleur, c’est-à-dire le plus rouge. Puis le fondre avant de le transformer. La fumée des fours envahissait les rues. Le travail se faisait au pied des maisons, dans les cours, encore intact aujourd’hui. Le vacarme était assourdissant si bien qu’on appelle les habitants les sourdins car les ouvriers devaient sourds à force de marteler la matière. Les dinandiers suivaient les commandes, réalisant des ornements d’églises, des poignets de sabres, des ustensiles de cuisine, des bassines et pleins d’autres choses.